samedi 13 décembre 2014

En Conclusion...

La littérature est un des plusieurs méthodes d'apprendre la culture français et pour moi, c'est un moyen logique. Vers la littérature on peut voir la moralité du temps, les grandes idées dans la société, l'effet de la technologie et la révolution industrielle, tous les choses comme ça. C’était intéressant de lire les poèmes et les textes qui viennent des ages différents mais que j'ai rencontré au même temps dans le même façon, par les pages des livres. J'aime que les idées que les écrivains expriment peuvent être complémentaire avec les travaux des artistes et des réalisateurs, que les thèmes du littérature a été traduit aussi par les artistes--les peintres et les scénaristes--et que tous leurs produits étaient si différent. Mais toujours ils montrent la vérité de l'histoire. Cela! C'est une autre idée que j'aime: les histoires que les artistes disent sont les variétés de la vérité, les vérités humaines ou du monde, mais elles se sont entourées dans la fiction, les histoires fausses; c'est une contradiction qui est le clé de la narration.

La Statue des Livres en Charlotte, Caroline du Sud

Ceci termine ma classe de la littéraire de la France, mais je peux toujours voyager dans le monde de la littérature avec ma capacité de lire et de penser.



Duras, Une Écrivaine et une Réalisatrice Postmoderne

Marguerite Duras (1914-1996) était une écrivaine et une réalisatrice qui a fait des films avec des thèmes de féminisme, de colonialisme, de traumatisme, et de mémoire. Elle était née dans l'Indochine ou elle dit qu'elle était une victime d'abus par sa mère et son frère. Pendant l'Occupation, elle a travaillé dans le gouvernement Vichy, mais elle était aussi un membre de la Résistance avec son époux. Elle a publié L'Amant en 1984 qui est un oeuvre autobiographique, qui a été rendu à un film par le même nom. Elle était la scénariste pour le film Hiroshima, Mon Amour. Nous avons vu les deux films en classe pour avoir un sens de son style d’écriture et le mouvement d’écriture surréaliste.

      
Marguerite Duras

Quand j’ai regardé le film “L’Amant” j’ai pensé à l’effet des scènes sexuelles et intimes sur les relations établies, comme le chinois et la famille. La sexualité de la fille influence tous les aspects du film; c’est le centre de l’intrigue. La sexualité est un sujet qui est presque un mystère malgré le fait qu’elle est une expérience partagée par la plupart d’humanité. En plus, ce n’est pas quelque chose qui est totalement réglée par la moralité d’une société ; c’est un aspect de la biologie. Souvent il y a une disparité entre les idées de la loi et la biologie, comme la sexualité.

J’ai eu une discussion avec une camarade de classe sur la différence des âges des deux personnages ans « l’Amant », quinze ans et trente-deux ans. Je trouve cette différence importante, mais elle m’a rappelée que ce n’est pas une différence énorme entre les gens à cette époque. Les hommes plus âgés ont souvent essayé de trouver les femmes moins âgées, donc ce n’était pas un grand problème pour le chinois d’être avec une fille de dix-sept ans, il croit. Néanmoins, il y a l’impression que la différence est un peu moins acceptable qu’avant parce que la fille a quand même dit un mensonge, donc elle a senti le besoin de dire un mensonge. Elle est attentive du trou entre elle et le chinois.
Mais l’âge ne devient jamais un grand problème. La différence entre l’expérience et leurs personnalités, en bref leurs maturités et aussi l’argent, créent les problèmes. Pour les deux, il faut qu’ils coupent leurs relations avec leurs familles afin d’être ensemble et accomplir l’expérience et la sagesse de la vie, mais il est impossible pour les deux de sacrifier tous pour l’autre. Il n’y a pas de confiance entre les deux uniquement de l’amour égoïste. J’espère que la fin pour le couple sera heureuse et je pense que le film crée la possibilité que les deux aient une fin ensemble et heureuse. Mais ce n’est pas spécifié, donc tout reste incertain. On peut dire que c’était la fin du film et de l’histoire. Donc, on nous laissé avec rien.

     
Les images sur le film, L'Amant 

Hiroshima, Mon Amour est un oeuvre fictif mais plus surréaliste que L'Amant. Pour commencer, les noms des personnages sont Elle et Lui. Dans ce film, il y a quelques idées et thèmes qui perpétuent chaque scène. On peut voir les effets du traumatisme chez une femme (qui s’appelle Elle) qui voulait quelque chose, l’amour, la confiance d’aborder son histoire de son amant allemand, ou peut-être simplement quelqu’un qui peut partager son lit pendant la nuit. Le résultat et qu’elle parle avec un amoureux japonais (qui s’appelle Lui) et pendant leur relation, elle divulgue son secret de Nevers.  Mais avec chaque moment qu’elle donne plus d’information d’elle-même, elle devient moins agréable, plus forte dans son refus de ses tentatives de mieux la connaitre. Le traumatisme la fait ferme à Lui, même si elle lui donne plus de détails. Elle se plie vers elle-même jusqu’au silence.  

Au début, il demande s’il peut la voir plus tard. C’est la première fois qu’elle dit non. Apres Lui cherche Elle à la scène du film, il lui demande de rester avec lui, à Hiroshima et encore quand elle revient chez lui. C’est impossible. Il et elle sont mariés, Elle a des enfants,  mais il voulait faire l’impossible. Je pense qu’il ne peut pas être content avec une vie normale après son propre traumatisme de perdre de nombreuse membres de sa famille et de ses amis dans l’horreur d’Hiroshima. Il cherche une relation ou un moment aussi fort pour répondre à la puissance de sa perte. C’est pour ça qu’il la poursuit. Avec chaque interaction, il devient plus ouvert et déterminé dans ses demandes. C’est presque un jeu sérieux de ‘Tag’ où il est le chasseur. 

Donc on arrive à la scène dans le restaurant. Leur communication est rompue. Ils se sont assis aux tables séparées et se sont regardés l’un et l’autre, sans mots. Même quand un autre homme s’approche d’elle, elle ne le regarde jamais. L’autre homme essaye de faire une conversation (en Anglais : la mode de communication pour presque le film entier était en Français), mais elle ne répond pas. Elle a des yeux seulement pour Lui et ses mémoires, son traumatisme. Elle est proche d’être catatonique. Apres qu’ils quittent le restaurant, Lui suit Elle mais à une distance. Encore, Ils ne parlent pas. Ils traversent les rues d’Hiroshima en silence ; il est immergé dans la possibilité d’elle et elle est immergée dans la passé. 

Mais à la fin, ils reviennent ensemble à la chambre de son hôtel. Elle crie « Regarde, j’ai déjà commencé à t’oublier ! » C’est un moment important parce qu’au début du film, il lui a dit qu’elle n’a rien vu à Hiroshima, et elle lui contredit qu’elle en voit beaucoup. Mais en réalité, quand elle n’est pas à la scène du film de paix ou au musée, elle est captivée de ses souvenirs. Elle regarde Hiroshima et elle voit Nevers, son soldat allemand et les caves.

La fin n’a pas de conclusion. On espère qu’elle commence à guérir après sa conversation avec lui et saigne le venin. Ce n’est pas clair comment Lui peut réussir et être content avec les circonstances. Si elle est d’accord de rester avec lui, il aura le problème de son épouse. Mais si elle l’abandonne, il perdra son amour passionnant probablement pour le reste de sa vie.

La Bande-Annonce du film Hiroshima, Mon Amour

Notre devoir pour ces discussions sont de créer un collage dans le style de Picasso sur les thèmes de ces films et du mouvement de surréalisme. Je veux partager ma création. 







Le Théâtre Absurde: Ionesco

Le théâtre absurde était un nouveau aspect du théâtre dans les années cinquante qui donne des idees d’existence, de vivre, des relations, etc. C'est une expérience qui a ete influence par les deux guerres mondiales et les thèmes de la fragmentation et l'isolation. Toujours, il y a des difficultes de communication: les gens n'entendent pas ou ne comprennent pas et en plus ils ne peuvent pas exprimer la compassion.

Eugène Ionesco

Eugene Ionesco (1909-1994) était une dramaturge roumain qui a écrit en français; il a contribué au mouvement de l'avant-garde en France. Il était inspiré d’écrire La Cantatrice Chauve quand il a été essaye d'apprendre l'anglais. Mais les phrases n'ont pas marche après il les a copié dans son cahier--il y avait une transformation magique et il a publié son expérience de sa nouvelle connaissance par le premier livre. Il a écrit aussi La Leçon, un livre et une criticisme du système d’éducation en France.

      

Entre les deux, je trouve La Cantatrice Chauve d’être moins lourd que La Leçon, et plus amusante. C'est comme une grande blague où les idées sont enterrées dans l'humeur, dans un système de ridicule. La Leçon commence avec des scènes lège, mais aussi un peu stupide. Pendant le texte, les scènes deviennent ténèbres et frustrante, jusqu’à la fin quand le professeur tue l'étudiante. Le lisant apprend que le professeur a déjà tué trente-neuf autres étudiantes pendant cette journée, sans conséquences, sans une pensée sur le part du professeur des conséquences. C'est fou, complètement fou.  

Les fins sont importantes parce que les deux ont des fins cycliques qui est une technique commune dans les pièces absurdes. C'est le moment de clarté, le clé, pour le pièce entier: tous les scènes sont fou. Il y a une implication que la vie est la même. 

Patrick Keropian et Camille Neîma dans une interprétation de La Leçon.


La Cantatrice Chauve de Ionesco au Théâtre de la Huchette

Nous sommes charges d’écrire notre propre scène pour un pièce de théâtre absurde. C'est en anglais, mon premier langue, pour avoir le meilleur ton d’absurdité. Et en plus, il y a le thème de Noel!

Characters:
Emperor Penguin: wears Christmas hat with jingle bell and Christmas sweater
Polar Bear: mandatory Christmas scarf around neck

Setting:
Snowy wasteland leading to icy ocean coast and a rock beach. The wind is blowing, though not as forcibly as it does at night. The sun is up and glinting off of the snow and ice, creating a world of bright light. Anyone and everyone must squint to walk in a straight line. There is one drooping spruce tree in the distance, a tiny spot of green and brown.

The curtain rises. Polar Bear sits on a large ice covered boulder looking out at the sea. Beside him, Penguin huddles and tries to snuggle closer to the bear. Bear looks at Penguin, exasperated. Penguin scoots away until there is space between them, but as soon as Bear returns his gaze to the waves, she sidesteps back over.

Bear: Stop doing that.

Penguin: Stop doing what? I’m not doing anything…I just want you to love me!

Bear: I do love you, but I’m contemplating melancholia and I need to feel alone.

Penguin: You’re not alone there. I’m here always!

Bear: I know Penguin. I know…

Penguin shuffles around to the front of Bear until she obstructs his view. He tries to peer around her but he had to sit straight to see over her head, and that would ruin his depressed slump effect.

Penguin: I caught a fish yesterday.

Bear: ….

Penguin: I caught a fish today. I tried to give it to you but you weren’t paying attention. Now it’s frozen on that rock over there. Frozen right to the rock. Can’t get it off. Already tried because I was hungry…
Do you think you could knock it off? You have paws and claws. Penguin flaps wings. I can’t knock fish off of rocks with these.

Bear: Why do we even exist in this void?

Bear collapses onto side. Penguin follows and stares deep into Bear’s eyes.

Penguin: Because.

Bear: Because why?

Penguin nods head first one way then another

Bear: You stopped listening to me didn’t you? You’re listening to Christmas music in your head right now.

Penguin: Yep. It’s Michael Buble. I can sing it for you.

Bear: Please don’t. He really interrupts my moodiness.

Penguin waddles beside Bear’s head and looks at the ocean as well, starting to hum slightly.

Bear: Hey does that ocean look like it’s getting closer? Or is the land shrinking?

Penguin: Both? The sun has been a bit warmer over the past ten years.

Bear: You weren’t even here ten years ago.

Penguin: Yes I was. I was in your brain. Like a tiny little penguin worm. I popped out of your ear five years ago. Don’t you remember anything? Also, global warming.

Bear: I don’t remember anything. That’s why I’m contemplative. I think you stole my memory. You’re global warming.

Penguin: ….We’re all going to die.

Bear: Aren’t penguins native to the south pole? Pauses. What’s global warming again?

The spruce tree falls down.

Curtain. 


Le Théâtre Existentialiste

Nous avons étudié quelques exemples des pièces de théâtre existentialistes et absurdes. Mais pour ce post, je voudrais parler de théâtre existentialiste. L'existentialisme a été fonde par Jean-Paul Sartre, une philosophe français qui était populaire les années après la libération de la France et la fin de la deuxième guerre mondiale. L'existentialisme est l’idée qu'un est responsable pour son propre actions; notre existence n'est pas déterminé par le Dieu ou le Destin.

Jean-Paul Sartre


Sartre (1905-1980) était un écrivain, une activiste et un critique littéraire.  Pour le classe, nous avons vu un documentaire pour achever un compréhension de sa vie, mais en plus, nous avons lu son pièce de théâtre, Huis Clos. Ce texte était amusant dans un façon d’appréciation sans moralité--je peux rire quand je pense à moi même comme un individu séparée et innocent de leurs crimes. J’étais un peu protégée par mon propre malentendu de l'histoire. Ce n’était pas jusqu'au conversation en classe que j'ai compris totalement les crimes, les deuxièmes histoires des personnages. J’étais choquée par leur indifférence vers leurs crimes, qu'ils ont parlé si casuellement d'en. Il n'y avait jamais des moments de remords et les gens, en particulière Garcin et Estelle, ont essayé d’éviter la culpabilité. Inès est un peu plus honnête, mais a mon avis, c'est afin qu'elle puisse critiquer les autres, Elle ne donne jamais les munitions aux autres pour se blesser.


La grande ironie de ce texte est que tous les gens, spécifiquement Garcin, ont essayé d'ouvrier la porte, mais il ne réussit pas. A la fin quand la porte est ouvert, il et Estelle n'ont pas la courage de quitter la chambre: ils ont peur de regarder en face d'une autre personne qui peut faire de jugement sur leurs caractères. Pour moi, c'est un type de damnation auto-infligé. Ils ont fait des mauvaises choses, des péchés et encore ils ont choisi l'enfer pour un deuxième fois. C'est une conception de la peur sans courage, sans la capacité de se lever l'au-dessus.

Il y a un autre point dans le livre qui me rend étonné. Inès est une lesbienne ouvert. Elle ne cache pas sa nature et pendant l'action du texte, elle essaye de séduire Estelle. J’étais sur l'impression que la homosexualité n’était pas accepté par la société générale. Quand j'ai fait du recherche à Colette, il y avait un moment quand elle et une autre femme, Missy, ont partagé une bise passionnante dans une représentation (la Rêve d’Égypte) qui a inspiré une émeute. (http://www.moulinrouge.fr/vedette/colette)

Mais j'ai un meilleur compréhension du temps après la deuxième guerre mondiale a la France et l'effet de Sartre sur le public. C’était un temps de liberté pour toute la France et il y avait un air de rébellion, de jeter tous les anciennes lois au dehors de la fenêtre.

Inès et Estelle

Nous avons aussi lu l’Hôte, par Albert Camus (1913-1960). Camus était un écrivain, un philosophe, une journaliste et un pair de Sartre. Pendant la guerre, il était un part de la Résistance et il a parlee pour la reste de son vie contre les idées du totalitarisme. Il a gagne le prix Nobel français et a écrit des essaies, des romans, des petites histoire et des travaux autobiographique. Il est mort tragiquement dans une accident de voiture quand il avait quarante-six. C'est lui qu'il a lance le début du théâtre absurde, mais je trouve l’Hôte d’être une combinaison des idées d’absurdité et d'existentialisme.

Albert Camus

La personnage principal dans l’Hôte est Daru, un professeur dans l’Algérie quand elle était un province de la France. Daru est une victime de circonstance. Il décide son propre titre et emploi, alors l’on ne peut pas trouver la faute. Il essaye d’aider les gens dans le village et fournit l’éducation (française bien sûr, mais un type de connaissance importante pour la situation entre l’Algérie et la France). Mais il rejette tous les autres soucis dans la vie. Quand Balducci arrive et lui donne la tâche d’accompagner l’Arabe chez les autorités, il dit « non, ce n’est pas ma responsabilité. » Il a raison mais Balducci laisse l’Arabe dans les mains de Daru pour prendre des décisions, donc le destin de l’Arabe devient sa responsabilité.

Il a du respect pour l’Arabe comme un humain, mais il a peur aussi parce qu’il sait que l’Arabe est accusé du meurtre. Il offre de petites choses comme un hôte : des repas, du thé, un lit, etc., mais il porte aussi un fusil pour sa protection. Il y a une situation polie mais la politesse est presque de fausseté parce que les deux hommes partagent les suspicions et le stress parce qu’ils sont tous les deux hôte mais aussi criminel et garde chacun. Encore, Daru espère que toujours s’il offre l’opportunité d’échapper, l’Arabe la prendra. C’est la dernière tentative passive de Dura pour éviter la tâche.

Quand le temps arrive, Daru marche avec l’Arabe, mais quand ils arrivent à un point spécifique dans le chemin, Daru s’arrête. Il donne l’argent et les aliments à l’Arabe et il indique les deux chemins pour aller à Tinguit et au désert, à la liberté. Il offre le choix. C’est un moment important parce qu’il donne l’opportunité à l’Arabe de poursuivre la justice pour son crime. C’est une considération énorme de la part du Français vers un arabe mais aussi encore une autre option d’éviter la vraie responsabilité de prendre le criminel au Tinguit. Daru a des motivations mélangés mais honorables dans leur expression.  L’absurdité et qu’il sera puni pour sa considération.

Albert Camus and the Cat Detective by ClareWelsh
"Albert Camus and the Cat Detective" par Clare Welsh

vendredi 12 décembre 2014

Le Génie de Proust

Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust. (1871-1922)

Alors, c'est un nom impossible. J'ai entendu le premier fois le nom Eugène Marcel Proust. Il semble comme un homme qui voudrait créer une réputation d’être assurée et mielleux. Je pense que j'accorde de l'importance à ses compétences dans la littérature.


Il a publie un chef-d'oeuvre s'appelle À la recherche du temps perdu, qui est en totale, sept volumes. 


Le passage "L'Univers dans une Tasse de Thé" est un part du section "Du coté de chez Swann" qui est la première partie dans l'oeuvre.  Le premier fois que j'ai lu le passage, j’étais frappée par la conception du pouvoir des souvenirs. C'est une idée que je partage mais que je n'ai jamais vu dans une texte si lyrique. J'ai décidé de relire le passage après un ou deux semaines et j'ai trouvé plus des aspects charmants. Le texte a une harmonie entre le sujet et le style d’écriture que j’admire. Les mots et la syntaxe était comme les morceaux d’aliments ; chacun a une saveur ou une impressionne différente pour le lecteur, mais le texte entier est comme un repas délicieux.  Après je l’ai lu, j’ai pensé à la fête de Thanksgiving où les aliments sont les vedettes de l’expérience, et la chaleur célébrée est que toute la famille peut manger ensemble, dans une atmosphère d’amour. Donc, c’est un moment idéal pour la création des souvenirs qu’inspire la nostalgie. Naturellement  les aliments qui étaient sur la table seraient liés avec les sentiments d’amour et de célébration. 

Il y a un grand pouvoir entre les sensations et la mémoire. Proust a écrit que « l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes » et qu’ils contribuent à « l’édifice immense du souvenir. » Maintenant, nous savons que le gout est influencé par l’odorat. Je trouve l’expérience de Proust un bon exemple de ce fait et c’est amusante qu’il écrivait de ces deux sens ensemble dans son texte bien avant cette découverte.  En plus, j’ai entendu une fois que l’odorat est le sens le mieux lié à la mémoire. Pour moi, il est difficile de décider entre tous les sens. Je sais sans doute que chacun a une puissance immense pour me transporter dans mes souvenirs. En ce qui concerne la nourriture, j’ai une théorie que j’ai choisi mes plats préférés par leurs saveurs mais aussi parce qu’ils ont attachés à un souvenir précieux ou joyeux. Ce n’est pas vrai pour tous mes repas, mais probablement pour la plupart. C’est pour ça que j’aime Thanksgiving et noël. J’adore passer le temps avec ma famille et je ne peux pas séparer cette expérience de manger le dîner ou de célébrer la fête avec elle. Chaque amour nourrit l’autre dans un cercle continu.

Proust reproduit parfaitement la sensation d’être au milieu des souvenirs et sous le pouvoir d’une saveur dans les dernières lignes : « tout cela qui prend forme et solidité, est sorti […] de ma tasse de thé. »

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Comme des autres devoirs, il faut que nous ayons écrit une passage dans le style de Proust, une type d’écriture méditative et basé sur l’expérience personnel. Ici, pour votre plaisir:

 Quand je regarde les flammes, je pense aux personnes que j’ai perdues ou qui restent toujours dans les ombres. Je suis le mouvement du feu avec mes yeux et je deviens captivée par les couleurs et la danse—je deviens pleine de nostalgie pour mes souvenirs.

Je me suis souvenue d’un moment quand j’ai vu le frère d’un ami. Il est arrivé pour l’escorter chez elle. Elle ne pouvait pas conduire à ce moment. Il s’habillait dans un manteau long et brun roux (un trench) et un chapeau un peu comme un cow-boy. Sous le chapeau, il portait un visage réservé, peut-être mélancolique. Je n’ai jamais appris la raison pour sa douleur. Il était loin de moi, un frère aîné et mystérieux. J’étais résolue de le faire mon ami, donc j’ai couru vers lui et l’ai pris dans un grand câlin. J’ai voulu qu’il sache qu’il y a toujours l’amour et la lumière dans le monde. Même là, j’ai vu qu’il était un peu perdu et cynique. Je ne sais pas pourquoi son bonheur m’était si important.
Il y a de grandes lacunes entre notre interaction. Mais quand je l’ai vu, j’ai le sentiment que notre relation n’a pas changé, comme si le temps n’avait pas d’effet. C’est une relation étrange, je pense, avoir un amour familiale pour quelqu’un qui on ne connait pas bien. Combien de relations comme cela est-ce qu’on peut avoir dans une vie ?

Est-ce un cadeau ou un message à apprendre ? Quelquefois, on dit que les relations instantanées possèdent une leçon ou une histoire que l’on doit transmettre à un autre. J’essaie de comprendre ces messages qu’il porte pour moi, mais je tombe en plus de confusion. Peut-être qu’il n’y a pas un grand moment d’importance ici. Peut-être qu’il est seulement un mec que je connais par mon ami, et c’est tout. Mais je ne peux pas croire cette idée. C’est comme un moment où on regarde les étoiles dans le ciel—je ne peux pas les voir sans un sentiment que je suis petite dans un grand univers et que je ne suis pas seule. Il faut que je croie à la magie dans le monde ou je perdrai l’espoir et la joie.  La vie sans signification me semble une existence sombre, une vie sans couleur ou musique.

Donc, j’ai toujours la même question : Pourquoi est-ce que cet homme m‘est important, particulièrement quand il est une source de douleur pour mon ami ? Comment est-ce qu’il est devenu mon ami quand nous n’avons pas l’habitude de nous parler ou de nous voir souvent ?
C’est un mystère auquel je pense quand je regarde le feu.

Portrait of Proust by Richard Lindner
Portrait of Proust par Richard Lindner




Colette, Une Écrivaine Moderne

Nous avons étudié Colette dans la classe, mais nous n'avons pas le temps d'apprendre tous les détails de sa vie qui a été influencé son travail. Elle a vécu pendant le début de la technologie moderne, les guerres mondiales et la Belle Epoque. Née en 1873 et mort en 1954, elle avait l’expérience de se marier d'un tricheur que a volé son travail et de lui divorcer. Apres, elle a fait des représentations dans les cabarets et a eu des relations avec certains femmes et hommes. Pendant la deuxième guerre mondiale et l'occupation allemand, elle a aidé ses amis juifs. Elle était courageuse et incendiaire. Ses œuvres sont des exemples d’écriture qui est basé dans le point de vue d'une femme, écrivait par une femme dans un monde en désordre.

Colette avec ses chats


Nous avons lu par Colette, "L'Autre Femme" et "La Chatte," deux petites histoires tellement différent dans les intrigues, mais similaire dans leurs sujets généraux: les relations entre les hommes et les femmes.

Dans "L'Autre Femme," un relation nouveau est compare avec un relation casse: l'homme (Marc) s'est remarier avec une autre femme (Alice), mais ils ont rencontré sa première épouse dans un restaurant. Alice a l’expérience de voir l'effet de mariage sur une femme avec le même homme, donc elle peut voir son propre futur. La première femme a un air d'apathie, comme la liberté dans un vide. Elle a reconnu que son expérience maintenant est dominée par son époux, et qu'elle est en danger de perdre sa propre personnalité et passion pour la vie.

Voici, un extrait de la fin de la petite histoire par Colette:
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Nous, nous sommes si contents… N’est-ce pas, chérie ?
Elle ne répondit pas. Elle donnait une attention furtive au visage de son mari, coloré, régulier, à ses cheveux drus, faufilés çà et là de soie blanche, à ses mains courtes et soignées. Dubitative pour la première fois, elle s’interrogea :
« Qu’est-ce qu’elle voulait donc de mieux, elle ? »
Et jusqu’au départ, pendant que Marc payait l’addition, s’enquérait du chauffeur, de la route, elle ne cessa plus de regarder avec une curiosité envieuse la dame en blanc, cette mécontente, cette difficile, cette supérieure…
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L'autre histoire, "La Chatte" est une histoire étrange qui montre les idées de l'obsession, positive ou négative. J'ai lu que Colette a aimé les chats, qu'elle a adoré les chats, mais elle a créé une personnage principale qui a fait des grosses abuses sur une chatte. C'est presque une bataille entre les deux, la femme et la chatte et a mon avis, la chatte a gagné. Mais la femme n'est pas la seule personnage avec des problèmes. Alan, le nouvel époux est fixé sur sa chatte et il a déjà eu une histoire d’être veuf. Il n'y a jamais une explication pour laquelle la première femme est mort. Donc, son comportement est un peu soupçonneux. Bien sur, la femme est un peu folle aussi, parce qu'elle essaye de jeter la chatte d'un balcon. Cela n'est jamais acceptable pour personne. Jamais.



Le Symbolisme et Mallarmé

Le mouvement du symbolisme a été inspire par un désir de rejeter le réalité et vivre dans un monde imaginative. Mais au même temps, ils n'ont pas accepté le sentimentalité de Romantisme, le mouvemente artistique d'Impressionnisme, ou l’arrivée de la technologie. L'imagination était le seul sauvetage, donc tous les aspects de la réalité ne sont pas adoptés. C’était un mouvement expérimentale afin de chercher les affinités ésotériques.

Stéphane Mallarmé (1842-1898) était un écrivain de la deuxième part du XIXème siècle; il a écrit des poèmes vraiment distinct pour leur style et leur composition. Il a expérimenté souvent avec le syntaxe et l’ambiguïté dans le signification de ses mots.

Stéphane Mallarmé
  
 
Une peinture de Mallarmé par Edouard Manet

Il avait une réputation d’être le plus grand poète vivante de la France par son publication des poèmes dans les journaux littéraires. En plus, il a fait un rassemblement des grands noms dans son salon dans les mardis, pour célébrer la musique, la poésie et l'art. Il était actif dans le monde créatif, mais il n’était pas prolifique comme d'autres écrivains. Un volume s'appelle Les Poésies de S. Mallarmé a été publié en 1899, après la mort de Mallarmé, pour conserver certains poèmes de son choix. Il a aussi écrit un oeuvre bien connu pour l’originalité de style et le forme d’expérimentation extrême, s'appelle Un coup de dés jamais n'abolira le hasard. C'est presque impossible de présenter le poème entier parce qu'il rejette le moyen normale d'utiliser un page, mais je peux offrir des exemples de l’écriture:






 Donc, vous pouvez voir le vrai ingénie de Mallarmé pour son expression de poésie. Mais il a écrit aussi les poèmes plus traditionnelle en forme pendant qu'il maintien un jeux des mots. En exemple:

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui ...

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !

Un cygne d'autrefois se souvient que c'est lui
Magnifique mais qui sans espoir se délivre
Pour n'avoir pas chanté la région où vivre
Quand du stérile hiver a resplendi l'ennui.

Tout son col secouera cette blanche agonie
Par l'espace infligée à l'oiseau qui le nie,
Mais non l'horreur du sol où le plumage est pris.

Fantôme qu'à ce lieu son pur éclat assigne,
Il s'immobilise au songe froid de mépris
Que vêt parmi l'exil inutile le Cygne.



Les Observations de Balzac et Flaubert

Il y a les difficultés de lire les extraits de Balzac et Flaubert comme étudiante américaine, parce qu'ils sont extrêmement détaillée et nous n'avons pas le vocabulaire pour apprécier toutes les nuances dans l’écriture. Mais nous pouvons comprendre des grands idées des deux écrivains.

Honoré de Balzac (1799-1850) était un écrivain des livres et des pièces de théâtre, bien connu pour son œuvre, La Comédie Humaine, une compilation incomplet des romans, courts et longs, sur la vie française. 

Honoré de Balzac

et la compilation, Une Comédie Humaine


Balzac utilise les observations pour élaborer son écriture, pour donner un sens du réel. Ses yeux sont admirables pour leurs attentions exacts: il inclue des détails spécifiques pour créer des personnages décorés, avec des émotions exagéré (un exemple: le père Goriot) Dans cette manière, il semble plus comme un écrivain Romantique qu'un réaliste, même s'il écrit des situations "normale." 

Gustave Flaubert (1821-1880) est connu pour son livre, Madame Bovary, qui est publié en 1857. Il a un croyance dans "le mot juste," le mot parfait pour décrire le scène, et il n’était pas satisfaite jusqu’à il a accomplit les phrases harmonieux. Il n’était jamais prolifique comme ses autres pairs, mais il a réussi dans son mission de créer un chef-d’œuvre.  

Gustave Flaubert

Flaubert a écrit des personnages complexes, d'une moralité complique ou ils ne sont pas simplement une ange ou un démon. Mais, parce que Flaubert a essayé d’être tellement exacte dans ses descriptions, les images sont quelquefois presque impossible à comprendre. 

Apres nous avons lu des extraits de Balzac et Flaubert, nous avons reçu le devoir: Ecrivez dans le style de Balzac ou Flaubert. Cette tâche était comme le devoir précédent ou nous avons écrit dans le style de Baudelaire, mais pour moi, c'est plus difficile d’écrire comme Flaubert ou Balzac à cause de la nécessité d'avoir une vocabulaire immense et variée. 

Je vous présente mon essai: 

Je me suis souvenu du jour où j’ai rencontré mon meilleur ami, Rachael Footland. Nous étions dans les mêmes classes pour le français et pour le séminaire des premières années, donc nous nous sommes vues quand nous sommes entrés dans la salle de classe, mais ce n’était pas qu’au deuxième ou troisième jour de la première semaine que nous nous sommes présentées. Je ne peux pas oublier le visage de Rachael : elle avait l’apparence de certitude, avec les cheveux courts, coupé dans une parfaite cloche. Je pense qu’elle a utilisé le maquillage et le rouge à lèvres parce que ses lèvres étaient d’une nuance de rouge acharné, comme des graines d’une grenade et son teint était brillant et doux. Ses vêtements étaient des couleurs riches mais complémentaires et du tissu qu’on peut trouver dans les magasins pour les vêtements formels. Elle était une adulte quand j’avais le sentiment que d’être encore un ado. Je suis intelligente, mais j’avais des questions de mon identité et de ma place sur le campus et mon nouveau rôle d’une étudiante de l’université. Je sais que mes vêtements ont reflété mon attitude, parce que je portais des vêtements qui me cachaient. Rachael était l’essence d’une étudiante confiante et réservée, calme et un peu distante. Dans la classe, elle ne parlait pas beaucoup, mais quand elle a fait des commentaires, elle parlait avec des mots tranquilles et avec un ton de grâce, vraiment contrôlé comme une chouette effraie, avec un masque blanc que ne bouge pas, pendant qu’elle considère les vies maigres plus bases qu’elle avec des yeux ténèbres.

J’ai pensé quand j’ai vue Rachael que j’étais un spaz, intelligente mais un peu absurde. J’étais une chauve-souris à sa chouette, et j’ai pensé que ce serait mieux de l’éviter. Quel type de relation est-ce que je pouvais avoir avec cette femme distinguée? J’ai appris pendant le début de notre amitié qu’elle était folle comme moi, mais elle montre cet aspect de sa personnalité seulement quand elle est confortable avec des gens autour d’elle, et j’ai l’honneur d’être une des privilégiées par son regard et sa croyance. 

Il faut que je commence au début. C’était l’heure du déjeuner, et j’étais seule dans ma chambre parce que ma famille avait déjà quitté le campus le jour précédent. J’ai pris ce moment de respirer après plus d’activités organise par l’université pour l’orientation. Ma porte était ouverte comme une invitation pour d’autres au couloir. J’ai voulu des amis, mais je ne suis pas le type de personne qui fait le premier tour. Rachael est aussi comme ça, donc, heureusement, la mère de Rachael était là, et elle a décidé d’arrêter à ma chambre et de donner a Rachael l’opportunité de m’inviter à aller a Moody ensemble. Rachael m’a dit après plusieurs mois qu’elle a décidé d’entrer parce qu’elle savait qu’il n’y avait rien à perdre. Nous étions tous étrangères et désespérées pour faire de bons rapports dans un nouvel endroit inconnu.  

Rachael était presque silencieuse, mais sa mère m’a parlé beaucoup d’une manière chaleureuse, comme une mère idéale et généreuse. Elle avait un accent un peu plus fort que Rachael du sud des Etats-Unis. Je ne suis pas sûr s’il y a la fatalité ou simplement s’il y a toujours de la chance, mais les repas pour le déjeuner était des plats traditionnels de sud : le poulet frit, la purée des pommes de terres, des biscuits. Il y avait l’odeur du sel et de l’huile dans l’air, et malgré mon incertitude autour des inconnues, j’avais faim. Quand j’ai vu le poulet, j’avais l’eau à la bouche. C’était après que je me suis assise sur la table avec la famille Footland que j’ai compris que je ne pouvais pas manger ce plat avec ma fourchette et couteau. J’ai regardé mon poulet, le peu parfaitement croustillant, un peu de lumière lançait sur mon plat vert comme un lustre d’huile sur des feuilles des arbres conifères. J’étais perdue. Je n’étais pas préparée pour cette interaction sociale avec la famille de Rachael, gentille et polie. J’avais la politesse d’un homme sauvage. Pour éviter l’inévitable, j’ai mangé tout le reste du repas avant le poulet, mais il restait sur mon plat et s’est moqué de moi.
Dans un moment magique, la mère a porté un morceau de poulet dans ses mains et m’a dit, « nous sommes devenues du sud et nous savons comment manger avec nos doigts. » Apres, elle a ri de l’idée qu’il y avait des gens dans le monde qui essayaient de manger le poulet frit avec une fourchette. Vraiment, c’est presque impossible. Rachael était en accord avec sa mère, et j’ai compris que j’étais avec des gens qui n’étaient pas si différents de moi, et que j’ai pu être plus décontractée, plus comme moi-même avec ma propre famille. 

Apres ça, Rachael et moi, nous avons trouvé que nous avions le même esprit envers la vie et que nos personnalités étaient harmonieuses. Nous avons fait une amitié sur la terre commune, comme notre amour des livres, du thé et des films comme « La Belle et La Bête. »  Nous avons partagé la douleur des devoirs, le manque de nos familles. Eu mêmes temps, nous nous sommes soutenues devant les problèmes et les complications pendant la vie : nous avons grandi ensemble et sommes devenus une famille de deux de notre choix. Maintenant, nous avons l’intention de déménager ensemble, de trouver l’école ou le travail proche. Dans le futur, je construirai des tunnels entre chez moi et chez elle—nos maisons seraient sur la même propriété. Quand Rachael pense à notre mortalité, elle commence presque à pleurer parce qu’elle imagine ma mort et notre séparation. 

jeudi 11 décembre 2014

Ourika, Une Femme Tragique

Dans notre classe, nous avons lu aussi des livres. Notre premier livre était Ourika par Claire de Duras qui était publié en 1823. Ce livre est écrit dans un style un peu nouveau pour le temps. Le livre commence avec le point de vue d'un médecin qui a visité le personnage principal, Ourika, quand elle est en train de mourir dans un abbé. Donc, c'est une histoire dans une histoire.

Quand j'ai lu le titre le premier fois, j'ai pensé au mot "Eureka," un mot anglais pour exprimer le suces. Mais après j'ai lu le livre entier, j'ai appris que le ton de l'histoire et l’idée de ce mot étaient complètement différent. Même si elle découvre un sort de paix a la fin, ce n'est pas une fin joyeuse ou passionnante.

En général, l'intrigue est typique des livres modernes, avec un conflit central et un apogée, mais il n'y a pas un sens de l'espoir. Le livre a commencé et l'espoir d'Ourika a disparu de plus en plus. Ma lisant m'a offrit une question intéressante: est-ce que c'est mieux de savoir des choses quand la connaissance aurait l'effet de détériorer la qualité de la vie? Sur le cas d'Ourika, le résultat de sa connaissance est sa mort, donc c'est un exemple de l'ancienne leçon, "moins on en sait, mieux on se porte" ou "ignorance is bliss" en anglais.

Mais, après elle a l’expérience de l'illumination, elle ne peut plus mentir à soi-même, elle a la capacité de reconnaître l'injustice dans le monde, et envers cela, elle prend la chance de rencontrer le prêtre qui se donne le conseil d'entre l’abbé. C'est la qu'elle trouve son paix, avec l’idée d'un Dieu qui accepte et aime tous les gens, sans regard de leur peu.

Apres j'ai termine le livre, j’étais un peu déprimé. J'ai demandé plus des questions comme "est-ce qu'il y a plus de la vie que la mort?" Je voudrait croire que la vie a la signifiance sur la joie et les actes d'amour. Au moins qu'un puisse donner au monde plus d'amour et de gentillesse.

Le face du livre est ici si vous êtes intéressé:

 

Il y a un film que est arrivé au Redbox au même temps que nous avons lu Ourika, qui s'appelle Belle. Nous avons regardé la bande-annonce en classe, mais ma camarade de chambre, nous avons regardé le film et c’était vraiment incroyable, une excellente moyen d’apprécier la réalité de la situation d'une femme noire libre dans l’époque de l’esclavage. 


Il y a une image dans le film qui est quelquefois utilisé pour le face du livre d'Ourika. Je pense que les deux sont souvent liées parce qu'ils partagent des thèmes similaires. Je vous les donnez ici: 

   
Le face du livre

Le film de "Belle" est basé sur ce peinture qui a été commandé par la famille de Murray. Les femmes dans le peinture sont Dido Belle Lindsey et Elizabeth Murray


Un Exercice dans le style de Charles Baudelaire

Nous avons fait un bon comparaison à Victor Hugo avec Charles Baudelaire, un autre grand nom français. Il a écrit une avalanche des poèmes mais il a utilisé un style spécifique, comme forme régulée de rythme et rime.  

  
Charles Baudelaire, 1821-1867

Regardez en dessous des poèmes de Baudelaire que nous avons étudié.

Correspondances

La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.

Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.

Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, 
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,

Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.

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L'albatros

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées 
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

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Chant d'automne

I

Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; 
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! 
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres 
Le bois retentissant sur le pavé des cours.

Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

Il me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

II

J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre, 
Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer, 
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre, 
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.

Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.

Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
De l'arrière-saison le rayon jaune et doux !

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Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

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A une passante

La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

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On peut voir souvent le schéma du rime est souvent ABBA ou ABAB. Il y a une atmosphère typique dans les poèmes de Baudelaire, grâce au schéma et au son des mots et des lettres. Il a utilise souvent les idées Romantiques pour son sujet et son construction de ses poèmes, mais il n’était pas dominé par les thèmes de Romanticisme, parce qu'il a trouve l'inspiration sur les scènes de la nature mais aussi les scènes urbaines, comme la ville de Paris. Il a croit que la bonté naturelle existe dans l'esprit humain. 

A ce temps la, nous avons parlé en classe de la prolifération des poètes masculins. Il n'y avait pas beaucoup des auteurs féminins a cause des restrictions des femmes à cette époque. Le domaine public n’était pas un espace ouvert aux femmes. Donc, nous sommes chargées d’écrire nos propres poèmes dans le style de Baudelaire sur les sujets modernes. Je vous le donnez maintenant.

Le Sang et le Cendre

Je vois la solitude, ma répression, mon désespoir,
dans le manque de couleurs, la saleté des âmes
autour de moi, à l’intérieur de moi. Tous ces hommes,
ces gens ont l’apparence d’un diable, un démon noir

qui m’agressent. Je vois les rue mouillées, peint par mon apathie ;
je me souviens du temps passé, la vie des voitures à cheval--
La même lutte, la même douleur d’un fouet comme un signal
d’être vivante et parfait, quand la pluie devient la suie.   

Les immeubles montent, et je rêve des grands chênes,
la joie d’un cheval libre et bien-aimé. Le gratte-ciel
casse mon espoir, me rappelle les fers et les pênes

que j’ai construits, les chaines de ma honte artificielle. 
Si j’essaye de briser mes œillères, je trouve l’animosité—
J’ai oublié ma place. Je suis l’obscurité.