vendredi 12 décembre 2014

Le Symbolisme et Mallarmé

Le mouvement du symbolisme a été inspire par un désir de rejeter le réalité et vivre dans un monde imaginative. Mais au même temps, ils n'ont pas accepté le sentimentalité de Romantisme, le mouvemente artistique d'Impressionnisme, ou l’arrivée de la technologie. L'imagination était le seul sauvetage, donc tous les aspects de la réalité ne sont pas adoptés. C’était un mouvement expérimentale afin de chercher les affinités ésotériques.

Stéphane Mallarmé (1842-1898) était un écrivain de la deuxième part du XIXème siècle; il a écrit des poèmes vraiment distinct pour leur style et leur composition. Il a expérimenté souvent avec le syntaxe et l’ambiguïté dans le signification de ses mots.

Stéphane Mallarmé
  
 
Une peinture de Mallarmé par Edouard Manet

Il avait une réputation d’être le plus grand poète vivante de la France par son publication des poèmes dans les journaux littéraires. En plus, il a fait un rassemblement des grands noms dans son salon dans les mardis, pour célébrer la musique, la poésie et l'art. Il était actif dans le monde créatif, mais il n’était pas prolifique comme d'autres écrivains. Un volume s'appelle Les Poésies de S. Mallarmé a été publié en 1899, après la mort de Mallarmé, pour conserver certains poèmes de son choix. Il a aussi écrit un oeuvre bien connu pour l’originalité de style et le forme d’expérimentation extrême, s'appelle Un coup de dés jamais n'abolira le hasard. C'est presque impossible de présenter le poème entier parce qu'il rejette le moyen normale d'utiliser un page, mais je peux offrir des exemples de l’écriture:






 Donc, vous pouvez voir le vrai ingénie de Mallarmé pour son expression de poésie. Mais il a écrit aussi les poèmes plus traditionnelle en forme pendant qu'il maintien un jeux des mots. En exemple:

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui ...

Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui
Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre
Ce lac dur oublié que hante sous le givre
Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui !

Un cygne d'autrefois se souvient que c'est lui
Magnifique mais qui sans espoir se délivre
Pour n'avoir pas chanté la région où vivre
Quand du stérile hiver a resplendi l'ennui.

Tout son col secouera cette blanche agonie
Par l'espace infligée à l'oiseau qui le nie,
Mais non l'horreur du sol où le plumage est pris.

Fantôme qu'à ce lieu son pur éclat assigne,
Il s'immobilise au songe froid de mépris
Que vêt parmi l'exil inutile le Cygne.



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